Parce que leur vie sexuelle "manquait de spontanéité et de passion", Robin R. et son mari ont décidé de s'autoriser des relations extra-conjugales pendant un an. Cette "expérience" maritale a eu lieu à cheval sur les années 2008-2009.

"Je n'avais couché qu'avec trois hommes avant de m'engager avec Scott à l'âge de 26 ans", explique Robin au New York Post. Le couple n'a jamais eu d'enfant. Scott n'en voulait pas. "Quelques mois après sa vasectomie, je lui ai dit que je refusais de mourir sans enfant et avec seulement quatre amants à mon actif." Après quelques hésitations, Scott a accepté le marché: Robin vivait seule dans un studio la semaine et rentrait à la maison le week-end pour passer du temps avec son mari. "Nous pouvions tous les deux choisir avec qui coucher tant que nous nous protégions."

Robin se souvient de son premier amant: un avocat de 40 ans. Au premier rendez-vous, "il a suggéré que nous nous embrassions pour tester notre alchimie". Au deuxième, "il m'a mis à genoux et m'a prise par derrière. Nous avons eu des rapports sexuels deux fois et après son départ, je me suis sentie rassasiée."

Robin a couché avec douze personnes en tout dont deux femmes. La seule règle: ne jamais revoir un partenaire de jeu plus de trois fois, pour éviter de créer des habitudes et un attachement.

"Les leçons que j'ai apprises n'étaient pas purement physique. J'ai appris à grandir, à faire des erreurs, à apprendre à vivre sans peur, à accepter mon côté sombre et j'ai découvert la différence entre être 'une bonne fille' et une 'bonne personne'."

Après un an d'expériences, le couple a repris un quotidien plus traditionnel. Robin a appris que son mari avait brisé toutes les règles établies: il avait couché pendant six mois avec la même personne et ne s'était pas protégé. "Mais ce n'est pas ça qui a mis fin à notre mariage. Il avait rompu avec elle."

Un amant de Robin l'a un jour contactée. Il souhaitait la revoir "des mois après la fin du projet". Cinq ans plus tard, c'est avec lui qu'elle vit désormais. "C'est une relation monogame normale. Scott a aussi trouvé quelqu'un d'autre. Je suis reconnaissante de tout ce que j'ai vécu dans mon mariage mais maintenant, je crois que j'apprendrai plus de choses avec quelqu'un qui a le même tempérament que moi."

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Aisha, une femme au foyer mère de trois enfants, a épousé Ali il y a quelques jours. Elle a demandé le divorce une semaine plus tard.

Même s'il s'agissait pour elle d'un deuxième mariage, elle avait respecté la tradition du pays et ne s'est installée chez son nouveau mari qu'après l'union. Ils ont alors eu leur première relation sexuelle. "L'expérience a été un cauchemar. Au lieu de profiter du sexe, c'était atroce, parce que son pénis était trop grand", a-t-elle déclaré à la cour de Zamfara.

Après leur premier rapport, la maman d'Ali lui a conseillé de persévérer. "Elle me disait qu'avec le temps, je serais capable de gérer. Elle m'a alors donné des médicaments." Elle ne précise pas lesquels.

La femme a donc réessayé mais elle ne peut se résoudre à une vie intime avec son mari. "C'est trop dur". Le mari n'a pas nié les propos de son épouse. Il est prêt à annuler le mariage si l'argent dépensé pour l'organiser lui est remboursé.

Des scientifiques ont enfin découvert pourquoi les femmes ont tendance à avoir des fesses bien rebondies.

Comparé aux autres mammifères, les femmes ont un taux de graisse corporelle beaucoup plus élevé, de 30% en moyenne, relate le Sunday Times. Pourquoi, se demande la communauté scientifique depuis fort longtemps. Le professeur Will Lassek de l'Université de Pittsburgh semble avoir trouvé la réponse. La graisse présente dans les fesses et les cuisses des femmes aide à développer le cerveau de leurs futurs enfants. 

"On a besoin de beaucoup de graisse pour construire un système nerveux et la graisse qui se trouve dans cette zone contient du DHA, un constituant particulièrement important du cortex cérébral", explique Will Lassek. "Apparemment, les femmes ont évolué de manière à accumuler cette bonne graisse jusqu'à l'arrivée d'un bébé." 80% du DHA dont le bébé a besoin provient ainsi de la graisse accumulée par sa maman. Une transmission qui se produit principalement durant l'allaitement. "C'est pourquoi les femmes qui allaitent perdent rapidement du poids."

Pour David Bainbridge, biologiste à Cambridge, il est évident que les femmes aux formes généreuses donnent naissance à des enfants plus intelligents. Inconsciemment, depuis la nuit des temps, les hommes préféreraient d'ailleurs les femmes rondes parce que leurs enfants plus forts et plus malins ont davantage de chances de survivre dans le chaos de l'existence.

Pour la première fois, une étude a démontré les effets à court terme de la présence maternelle sur le cerveau des bébés.

Quand un bébé éprouve de la douleur, "la présence de la mère n'est pas anodine, c'est un paramètre majeur", peut-on lire sur le site de BFM TV. Des chercheurs américains ont mené des tests sur des petits rats.

Après leur avoir infligé de légers chocs électriques, ils ont réalisé que la douleur provoquait l'activation de plusieurs centaines de gènes dans la partie du cerveau qui gère les émotions. Mais quand leur maman était près d'eux, ce chiffre baissait à moins de 100.
 

Il ne s'agit pas seulement d'un réconfort moral. "Notre étude montre qu'une mère qui réconforte son bébé qui souffre ne provoque pas seulement une réponse comportementale, mais le fait de le consoler modifie - pour le meilleur ou le pire - les réseaux neuronaux essentiels au développement précoce du cerveau", explique la neurobiologiste Regina Sullivan.

Si cette expérience semble un peu cruelle pour les bébés rats, elle pourrait permettre de faire avancer les recherches afin de soulager la douleur des êtres humains. "Comme les médicaments opiacés sont trop dangereux chez les nourrissons humains en raison de leurs propriétés addictives, le défi reste pour les chercheurs de trouver des alternatives dans les stimuli environnementaux, y compris la présence maternelle, le fait de dorloter, ou d'autres pistes, comme l'odeur de la mère, qui pourraient soulager la douleur", conclut Regina Sullivan.

Par peur de déranger, pour ne blesser personne, ceux qui ont l'excuse facile emploient à tout va des "excusez-moi" et "je suis désolé(e)". Le Huffington Post américain dresse la liste des choses pour lesquelles il faut absolument arrêter de dire pardon.

Arrêtez de vous excuser...

D'être vous-même.
A un moment, s'excusez de ce qu'on est ne sert plus à rien. Si les gens ne vous apprécient pas, qu'ils tracent leur route. Le monde est assez peuplé pour trouver des gens positifs, qui pardonnent vos maladresses et qui ne vous rappelleront pas régulièrement vos erreurs du passé. Vous êtes parfait comme vous êtes. Bien sûr, quelques ajustements sont permis mais dans les grandes lignes, soyons clair: vous ne changerez plus. Donc autant s'y faire...

De vouloir aller dormir.
Oui, il est 21 heures. Et alors? Le quotidien est parfois chargé, la vie est toujours stressante et le sommeil est essentiel à notre bien-être. Arrêtez de vous justifier: personne n'a besoin du même nombre d'heures de sommeil pour se sentir en forme, si vous avez besoin de récupérer, ne culpabilisez pas.

De dire non.
C'est libérateur. Alors pourquoi s'en excuser?

De prendre des vacances.
En cette période de crise interminable, on se sent en permanence sur la sellette et on tremble à l'idée de poser trois semaines de congé d'affilée. Reste qu'on ne connaît rien de tel pour décompresser et revenir plus efficace que jamais. Et en plus, vous y avez droit, comme tout le monde...

De rompre avec un(e) ami(e) toxique.
Rompre avec un ami est difficile parce que tabou. On parle sans complexe de nos séparations amoureuses mais jamais des ruptures amicales. Si une relation vous fait plus de mal que de bien, il faut peut-être y mettre fin. Les gens qui se plaignent, ceux qui vous jugent ne méritent pas votre attention ou votre énergie. La vie est trop courte...

De ne pas répondre tout de suite.
A un mail, au téléphone, à un sms... La technologie est omniprésente mais vous avez le droit d'avoir une vie en dehors de vos écrans.

De vouloir être seul(e).
Parfois, le silence s'impose. Prendre du temps pour soi, du recul, de l'espace permet de recharger ses batteries.