La police britannique devra verser 425.000 livres (539.000 euros) à titre de compensation à une femme ayant eu un enfant avec un homme dont elle ignorait qu'il était en réalité un agent infiltré, rapportaient les médias britanniques.

«Il disait s'appeler Bob Robinson. Il avait les cheveux longs, se présentait comme un gauchiste radical», raconte cette femme, qui se fait appeler «Jacqui», dans The Guardian. «En réalité, c'était un agent d'une section spéciale de la police travaillant sur les manifestations. Il menait une mission de cinq ans pour infiltrer les groupes de défense de l'environnement et des droits des animaux», dit-elle.

Jacqui rencontre Bob Robinson alors qu'elle n'a que 22 ans. Elle tombe rapidement amoureuse, puis enceinte, de cette homme «charmant et charismatique», mais qui disparaît deux ans plus tard, en se disant traqué par la police. En réalité, l'agent a terminé sa mission, il retrouve sa véritable identité, sa propre famille, ses enfants, et reçoit une promotion, laissant Jacqui sans nouvelles.

Cette dernière découvre la vérité en 2012 dans un journal, après que des membres de Greenpeace l'eurent accusé d'avoir infiltré l'organisation dans les années 1980 à l'époque de campagnes antinucléaires. La police britannique a reconnu les faits et présenté «ses plus profondes excuses pour la souffrance que cette relation» a causé.

Scotland Yard a précisé toutefois que les instructions données aux policiers ne prévoyaient pas de «relations sexuelles».

Créée en 1968, la brigade pour laquelle l'agent sous couverture travaillait a été dissoute en 2008.

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La scène s'est deroulée le 13 août dernier, sur l'autoroute E40 à hauteur de Aalter, en belgique.
Difficile à croire au vu des terribles images mais la conductrice, Jasmien Claes, 25 ans, a survécu. La jeune femme de Kalken, près de Gand, est cependant encore en revalidation. "J'ai eu beaucoup de chance", témoigne-t-elle dans Het Laatste Nieuws. "Mais revoir ces images et surtout lire les réactions qu'elles suscitent est très conflictuel", poursuit Jasmine, qui peut remercier son ange gardien.

La vidéo a été enregistrée par un chauffeur de camion à l'aide de sa dashcam. On voit la Ford Focus de Jasmien débouler de la bande de gauche pour s'engager vers la sortie. Malheureusement pour elle, une file de véhicules (qu'elle ne peut pas voir à cause d'un camion) roule au pas sur la bande réservée aux conducteurs qui quittent l'autoroute. Le choc est terrible: la voiture de la jeune femme percute un camion de plein fouet.

Jasmine est une véritable miraculée: elle s'en sort avec "seulement" deux vertèbres cassées et une main brisée. Elle s'est réveillée du coma dans lequel elle était plongée et se remet peu à peu. Revoir les images de ce cauchemar l'a cependant bouleversée.

En Argentine, une famille a failli être dénoncée pour abus sur les animaux suite à la naissance d’une chèvre avec une tête d’humain. Or, il s’agirait d’une déformation due aux pesticides…

C’est une histoire assez incroyable que nous rapporte le dailymail.

La famille Villalba, originaire de Centro, dans la province de Salta en Argentine a été accusée de maltraitance envers les animaux après qu’une chèvre soit née avec une tête d’humain.

C’est un ami de la famille qui a posté la photo sur les réseaux sociaux. Il voulait ainsi dénoncer l’utilisation de l’insectifuge dans la région. En effet, selon lui, les pesticides perturberaient le développement des animaux et de telles mutations génétiques auraient lieu.

Les habitants du village ont pourtant accusé la famille d’abus sur les animaux suite à la parution de cette photo. Une des accusations déclarait même que la famille serait zoophile et aurait ainsi eu des relations sexuelles avec la chèvre.

L’épouse de l’agriculteur, Olga Villalba, a démenti ces accusations. « Il était mort quand il est né, nous voulons juste nous débarrasser de celui-ci le plus rapidement possible. Nous l’avons donc enterré le plus vite possible ».

Malheureusement, la publication de la photo de leur ami a été mal vue par le reste de la population. Après plusieurs recherches, il s’avère que la famille avait raison : cette mutation génétique a été causée par l’utilisation excessive de pesticides.

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Plusieurs Britanniques ont accepté d'abandonner leur enfant le plus âgé en échange du wifi gratuit dans un café, piégés par des clauses de connexion mal lues pour une étude illustrant les dangers de l'accès public à internet.

Ces Londoniens, qui se connectaient à internet d'un café situé dans un quartier du centre de la capitale britannique, devaient accepter des "termes et conditions" pour utiliser une connexion wifi disponible dans l'établissement. Mais ceux-ci incluaient une clause baptisée "Hérode" précisant que la connexion ne sera fournie que si "le destinataire accepte de nous donner son enfant le plus âgé pour l'éternité".

Sur la courte période pendant laquelle ces termes et conditions ont été appliqués, six personnes se sont fait avoir. "Comme il s'agit d'une expérience, les enfants seront rendus à leurs parents", a toutefois précisé l'entreprise de sécurité informatique ayant réalisé cette étude, F-Secure. Cette expérience avait pour but d'alerter sur "le mépris total pour la sécurité informatique des gens quand ils se déplacent", précise F-Secure dans le rapport ayant suivi l'expérience.

C'est l'entreprise allemande de "hacking éthique" SySS qui a fabriqué l'appareil utilisé pour cette étude : une petite borne wifi, tenant dans un sac à main et vendue 200 euros. En seulement 30 minutes, 250 appareils se sont connectés à cette borne, parfois de façon automatique.

L'entreprise a alors pu récolter les textes des e-mails envoyés par ces appareils, l'adresse mail des expéditeurs et des destinataires de ces e-mails ainsi que les mots de passe des expéditeurs.

Jessica A., une Américaine de 33 ans, a été sauvagement attaquée ce week-end par le père de son bébé de six mois. Samedi soir, le couple rentrait d'une sortie au restaurant et Antoine D., 30 ans, a été pris d'une colère vive. Ivre, il s'est mis à frapper Jessica qui tenait leur petite fille dans ses bras.

La jeune femme s'est enfermée dans la salle de bain. Antoine D., ancien Marine, a défoncé la porte et a pointé un fusil d'assaut vers sa compagne. Il lui a tiré une balle dans la tête. L'homme s'est tué quelques minutes plus tard, à l'arrivée de la police sur les lieux du crime.

Jessica a réussi à sauver son bébé. Avant de mourir, elle a placé son enfant dans la cuvette des toilettes. Les policiers l'ont retrouvé treize heures après le drame. "Elle est une héroïne pour moi", a confié, très émue, la maman de Jessica. "Dans son dernier souffle, elle a pensé à sauver son bébé."