Son nom: Gladys Burrill. Son âge: 92 ans. Son nurmom: The Gladyator! Et pour cause, la mamy pète la forme!

La vieille dame a en effet terminé un marathon à Honolulu et a, par la même occasion, décroché le titre de la plus vieille femme à avoir fini un marathon.

Le plus impressionnant dans cette histoire, c'est que Gladys n'était pas au courant qu'elle était dans la course au titre de la plus vieille marathonienne à aller au bout de l'épreuve. Elle s'était simplement inscrite au marathon par plaisir!

La vieille dame a terminé la course en neuf heures et 53 minutes. Le Guinness Book des records a officiellement confirmé son titre. Et si Gladys n'en est pas à son premier marathon, elle n'a commencé à les courir qu'à l'âge de... 86 ans!

Quand on lui demande ce qu'elle fait pour rester si en forme, Gladys répond très simplement: "Il n'y a qu'à sortir et marcher ou courir. C'est aussi très important d'être optimiste. Ca fait une grande différence dans la manière dont vous vous sentez et sur votre vision des choses".

Un membre du gouvernement d'Hawaii a déclaré: "Cette dame a prouvé à elle-même, au monde et à chacun d'entre nous  qu'avec du travail et de l'inspiration, vous pouvez faire tout ce que votre cœur vous dit de faire".

En voilà une super mamy!

Une conductrice a survécu par miracle au plongeon, depuis le sixième étage d'un parking, de son véhicule, qui a fini sa chute coincé entre les murs du parking et du bâtiment adjacent, ont indiqué des témoins et les services d'urgence de la région de Melbourne (sud).

La conductrice, âgée d'une quarantaine d'années, a été sortie vivante de sa voiture une demi-heure après avoir chuté de 30 mètres.

Elle souffre de coupures à la tête mais son état est stable, a précisé Paul Bentley, porte-parole des ambulances de l'Etat de Victoria.

"Le lieu de l'accident est épouvantable. Rien que de le regarder, je ne comprends pas vraiment comment elle a pu s'en sortir", a déclaré Michael Rockefeller, un témoin, aux journalistes venus sur les lieux.

"On a eu l'impression qu'un camion s'écrasait. Le bruit a duré 5 à 6 secondes. Il y a eu un énorme boum à la fin", a-t-il ajouté.

Un homme, dénommé "BeardPick" a réussi à placer 2747 cure-dents dans sa barbe. 

A force de planter des cure-dents dans sa barbe, celle-ci se détendait peu à peu et laissait échapper des cure-dents précédemment placés. La durée de la pose est inconnue.

Jacob Barnett, 12 ans, peut se vanter d'avoir un QI de 170. Casquette à l'envers, il est sur le point de défier Albert Einstein et sa théorie de la relativité.

Originaire d'Hamilton dans l'Indiana, le cas de ce petit garçon à qui l'on a diagnostiqué le syndrome d'Asperger, une forme d'autisme, intéresse de près les médias qui se sont emparés du phénomène.

Et pour cause. Jacob dit avoir appris l'algèbre et la géométrie en à peine une semaine.

Il a ensuite expliqué à sa maman, intriguée par son intérêt croissant pour les calculs savants, qu'il était sur le point de contrer le fameux E=MC² d'Albert Einstein.

La mère du petit prodige prend alors l'initiative de filmer son petit garçon pendant ses explications et envoie la cassette à Princeton. Les physiciens de la célèbre université ont confirmé qu'il était sur le point de découvrir quelque chose de nouveau: "La théorie qu'il développe implique de nombreux et compliqués problèmes d'astrophysique et de physique théorique", se sont-ils étonnés.

Le jeune garçon a quitté l'école pour suivre un cursus spécial consacré à l'astro-physique à l'Université d'Indiana où il n'hésite pas, selon son professeur, à venir en aide aux autres étudiants.

La justice française a condamné Glaxo SmithKline (GSK) à verser des indemnités à un homme de 51 ans atteint de la maladie de Parkinson et dont le traitement fabriqué par ce laboratoire britannique l'avait rendu dépendant au sexe et au jeu.

Le laboratoire GSK, fabricant du Requip, a été condamné par le tribunal de Nantes (ouest) à verser 117.000 euros à Didier Jambart (qui réclamait 450.000 euros) ainsi que 11.315 euros à la sécurité sociale, selon le jugement lu par les avocats du plaignant.
 
Entre 2003 et 2005, lorsque M. Jambart prenait le Requip, le médicament mis en cause dans cette affaire, la notice à l'attention de l'usager ne mentionnait pas ces effets secondaires de dépendance au jeu ou d'hypersexualité, ce qui a conduit le tribunal à estimer que le Requip était, en raison de cette omission, "un produit défectueux". Ces effets indésirables sont désormais mentionnés dans la notice qui accompagne le médicament.
 
Selon Pierre Pollak, chef du service de neurologie des Hôpitaux universitaires de Genève et vice-président du Comité scientifique de l'association France-Parkinson, les dernières études montrent que 15% des patients parkinsoniens prenant des médicaments dopaminergiques (influant sur le système nerveux) contractent des troubles du comportement, dont 5% avec jeu pathologique.
 
D'autres effets indésirables possibles relevés par le médecin sont "l'hyperactivité", "des activités compulsives inutiles", des "addictions alimentaires", des "achats excessifs" et des "comportements hypersexuels, parfois déviants".