Il souffrait depuis des mois d'infections récurrentes: en opérant cet Argentin de 42 ans, les chirurgiens ont découvert un cure-dent dans son coeur, avalé deux ans plus tôt sans qu'il s'en soit rendu compte.

"Nous savions qu'il fallait retirer un élément étranger, je pensais que c'était un cathéter. Quand j'ai dit aux membres de l'équipe que c'était un cure-dent en bois, ils ne me croyaient pas. Ils me disaient 'il te faut prendre ta retraite', 'tu es devenu fou'", a raconté le chirurgien Fernando Cichero.

Le médecin a expliqué que le cure-dent était progressivement passé du système digestif au système sanguin, avant d'arriver au coeur. "Par chance, a-t-il ajouté, c'était un homme sain et robuste." "J'ai passé six mois entre l'hôpital et chez moi, je sentais que quelque chose me piquait le coeur", a relaté Horacio Videla devant l'hôpital Fernandez de Buenos Aires, soulagé et souriant.

Au cours des derniers mois, il a perdu 7 kg. "J'avais beaucoup de fièvre et les médecins ne savaient pas ce que j'avais", a-t-il dit. "Il faut bien mâcher", a ironisé le patient devant des journalistes. Selon le Dr Cichero, deux cas semblables ont été répertoriés dans des revues scientifiques, en 1972 au Japon et il y a cinq ans en Chine.

7/7

Une Britannique a commis une erreur fatale en envoyant un cliché osé à son patron alors qu'il était destiné à son petit ami. Son boss a plutôt bien pris la chose en lui répondant avec humour.

Visiblement séparée de son chéri pour le week-end, la jeune femme a voulu lui faire comprendre qu'ils auraient pu passer du bon temps à deux. Pour le faire saliver, elle a donc relevé son t-shirt et photographié l'un de ses seins, pour l'envoyer via l'application Snapchat (qui n'envoie que des photos éphémères). "Ce que tu as raté ce week-end :)", écrit cette femme qui a évidemment souhaité garder l'anonymat.

Problème: le destinaire est devenu son patron, après une fausse manipulation sur son téléphone, où elle n'a pas coché le bon nom. Ce qui devait donc être un moment un peu coquin s'est transformé en moment extrêmement embarrassant.

Le patron en question a fait une capture d'écran avant de lui répondre sereinement. "Salut. Tu ne voulais sûrement pas m'envoyer ça mais s'il te plaît, soit plus prudente. Je suis ton PATRON", a-t-il répondu.

Selon The Mirror, l'employée n'a pas été suspendue après ce petit incident. Mais les retrouvailles du lundi ont quand même dû être un peu particulières...

7/7

A Sydney en Australie, l'heureux propriétaire d'une Lamborghini Murcielago orange décidait récemment de se séparer de sa belle Italienne.

Il a donc organisé un petit tour avec un acheteur potentiel installé dans le siège passager, avec la ferme intention de l'impressionner grâce aux performances de sa machine.

Malheureusement pour lui, il a terminé dans un arbre après avoir perdu le contrôle de la voiture. Et à la fin, elle n'était plus du tout vendable, du coup...

Heureusement, personne n'a été blessé.

Lors d'une exposition à Taipei, un garçon de 12 ans a accidentellement déchiré un tableau du 17e siècle du peintre italien Paolo Porpora, d'une valeur de 1,3 million d'euros.

Le tableau, intitulé "Fleurs", fait partie d'une collection de 55 œuvres présentées au public dans la capitale taïwanaise. Dans la vidéo, on voit le jeune garçon trébucher contre une plate-forme et se retenir au tableau avec ses mains pour empêcher sa chute. Puis il regarde autour de lui, l'air désemparé, avant de repartir.

"L'enfant est tombé sur le tableau et a causé une déchirure de la taille d'un poing", a expliqué un employé de l'association TST Art of Discovery, maître d'oeuvre de l'exposition "The face of Leonardo" ("Le visage de Léonard de Vinci").

D'après l'agence China News, TST a décidé de ne pas réclamer de dommages et intérêts à la famille du jeune garçon après l'accident. L'oeuvre a été restaurée et peut à nouveau être admirée par le public. Un auto-portrait de Léonard de Vinci, d'une valeur de 200 millions d'euros, fait également partie de l'exposition.