C'est un mariage peu commun que relaie aujourd'hui la presse britannique. Celui d'Amanda Rodgers, une Britannique divorcée de 47 ans avec son chien Sheba.

La quadragénaire, déçue des hommes en général depuis un mariage raté qui n'aura duré que quelques mois il y a vingt ans de cela, a livré son témoignage dans une émission de télévision. "Sheba partage ma vie depuis des années. Elle me faire rire et me réconforte", confie-t-elle. "Je ne pouvais espérer mieux comme partenaire de vie".

Elle a donc décidé de demander la main de l'animal. Une demande en mariage très protocolaire. "Je me suis mise à genoux et je lui ai demandé de m'épouser", dit-elle. "En voyant sa queue remuer, j'ai compris qu'elle avait dit 'oui'".

La cérémonie s'est déroulée à Split en Croatie en août 2012. 200 personnes avaient été invitées pour célébrer cette union au cours de laquelle Sheba portait une robe blanche. "Je lui ai donné un baiser pour sceller notre amour et puis tout le monde a jeté des confettis. Ce fut un moment merveilleux ", se souvient Amanda.

"Je sais que le mariage de Sheba n'est pas réel au sens juridique  du terme", admet-elle cependant. "Mais c'était une belle façon de montrer ce que Sheba signifie pour moi", conclut-elle. "Sheba n'a jamais été méchante avec moi et elle est toujours heureuse".

En dire trop sur Facebook peut coûter très cher. Un sexagénaire américain en a fait les frais.

David Snay, un Américain de 69 ans, était parvenu à obtenir 80.000 dollars (soit environ 57.000 euros) de dommages et intérêts de la part de sa société suite à un licenciement abusif. Une coquette somme qu'il ne touchera malheureusement jamais et ce à cause d'un commentaire de sa fille sur le réseau social Facebook, selon une information du Miami Herald relayée par France TV Info.

Car selon les termes de cet accord, cette transaction devait rester strictement confidentielle. Celui-ci a donc été rompu lorsque Dana Snay, la fille de David, a balancé la nouvelle à ses 1.200 amis sur Facebook. "Maman et papa Snay ont gagné", a-t-elle publié sur le réseau social. "C'est officiel, Gulliver paie mes vacances en Europe cet été". 

Une petite confession qui leur a coûté très cher. Les vacances en Europe de la famille Snay devront finalement attendre...

Un chauffeur de bus américain a vu sa vie sauvée grâce à la Bible qu'il portait dans sa poche de chemise et qui l'a empêché d'être mortellement touché par les balles de ses agresseurs, a indiqué la police mardi.

"Il y a certainement eu une sorte d'intervention (divine) car le chauffeur ne devrait plus être parmi nous à l'heure où je vous parle", a déclaré à la presse le sergent Michael Pauley de la police de Dayton, dans l'Ohio (nord des États-Unis). Rickey Wagoner, 49 ans, s'est fait accoster lundi matin par trois adolescents après avoir arrêté son bus sur le bord de la route pour régler un problème.

Selon la chaîne locale WCPO News, il pourrait s'agir d'un rite d'initiation au sein d'un gang. Le chauffeur a en effet "entendu l'un des suspects dire qu'il était temps de tuer un ours polaire pour faire partie du club", a précisé le sergent Pauley. "Il s'est battu pour sa vie", a-t-il ajouté. Rickey Wagoner a été touché par deux fois à la poitrine mais il a réussi à tenir bon et essayé de saisir l'arme des mains de ses agresseurs.

"J'avais un livre dans ma poche", a expliqué le chauffeur lors d'un appel passé à la police, diffusé plus tard par la presse locale. "J'ai d'abord cru que (les balles) l'avaient traversé. J'ai juste eu l'impression d'avoir été heurté par une énorme masse à la poitrine", a-t-il témoigné. L'un des adolescents lui a asséné un coup de couteau au bras tandis qu'il luttait pour attraper le revolver, l'arme est tombée par terre et un coup de feu est parti dans les airs, l'atteignant à la jambe.

Mais le chauffeur a réussi à écarter les deux armes. "J'ai poignardé l'un d'entre eux à la jambe avec mon stylo", a encore raconté Wagoner durant son appel au numéro d'urgence 911. "Il a crié et c'est alors qu'ils se sont tous enfuis", a-t-il ajouté, indiquant qu'il avait ramassé le pistolet et tiré en direction des jeunes fugitifs, sans toutefois les toucher selon lui.

Certaines études sont étonnantes. Celle de l'Université de Leiden et l'Université d'Amsterdam en fait partie. Elle affirme que manger des épinards et des oeufs pourrait aider à réduire les accidents de la route.

Un nutriment présent dans ces deux aliments ainsi que dans le fromage et le soja et appelé la tyrosine aiderait en fait à stimuler les réflexes.

La recherche publiée dans la revue Neurospychologia a testé deux groupes de participants. Ils étaient face à un écran d'ordinateur. Quand une flèche verte apparaissait à l'écran, ils devaient appuyer sur le bouton correspondant au sens de la flèche (gauche ou droite) et ce, le plus vite possible. Quand une flèche rouge apparaissait, ils ne devaient rien faire. Les sujets testés ayant bu un jus d'orange enrichi en tyrosine avaient de bien meilleurs réflexes que ceux qui avaient bu un jus d'orange classique, sans tyrosine.

Pour les chercheurs, il ne fait aucun doute que manger des aliments enrichis en tyrosine comme les épinards ou les oeufs donc pourraient améliorer les réflexes lors de la conduite et du coup, diminuer les accidents. Ils n'indiquent cependant pas en quelle quantité ces aliments doivent être ingurgités pour des résultats probants.

Une Indienne de 25 ans, qui ne peut manger d'aliments solides, survit depuis sa naissance grâce à un régime liquide.

Pas un fruit, pas un légume ni même un morceau de viande, Manju Dharra, une jeune femme de 25 ans qui réside à Sonipat, près de New Delhi en Inde, n'a jamais mangé d'aliments solides. Pour survivre, elle boit quatre à cinq litres de lait par jour, ainsi que du thé et bien évidemment beaucoup d'eau. 

Car Manju Dharra souffre d'une maladie rare appelée achalasie, un trouble de l'oesophage qui l'empêche de se nourrir. Dès qu'elle tente d'ingurgiter quelque chose de solide, elle est prise de vomissements.

Selon la mère de Manju, c'est à l'âge de deux ans que les premiers troubles se sont manifestés. La jugeant assez grande pour commencer la nourriture solide, elle lui avait présenté du pain et du riz. Mais la fillette n'avait fait que pleurer et avait été malade. La prenant tout d'abord pour un enfant capricieux, elle avait fini par comprendre que sa fille était malade.

Après avoir consulté plusieurs médecins, on lui a dignostiqué son achalasie. Une opération pourrait la guérir mais les finances de ses parents, qui ont six autres enfants, ne le permettent pas. Les parents de Manju n'ont pu qu'investir dans une vache qui leur fournit la quantité de lait dont leur fille a besoin quotidiennement.